Les courants d’air, c’est comme le vent (fong).
Un proverbe chinois dit : “un vent qui n’éteint pas une chandelle tue un homme”.
On peut dire sans exagération que les deux tiers des maladies aiguës ont pour cause un trouble apporté par le fong..
On raconte que Pien Tcho avait une telle frayeur des courants d’air qu’une porte laissée ouverte le mettait dans un état d’exaspération. Un jour, l’une de ses servantes s’étant absentée avec sa permission pour assister à une noce dans un village voisin, reçut un ordre qui la rappelait immédiatement auprès du Maître : elle avait laissé la porte ouverte en partant.
“Vous retournerez à la noce quand vous l’aurez fermée” lui dit Pien Tcho.
Cette anecdote n’a pour but que de nous prévenir contre les fong qui ne sont pas que les grands vents extérieurs mais dont les simples courants d’air font partie (comme les climatisations en certains lieux).