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CECI EST POUR VOUS !

Même s’il s’agit des mêmes méridiens et des mêmes points cutanés, il existe plusieurs approches de l’acupuncture.
La plus répandue actuellement est celle issue du modèle de la Chine contemporaine, celle de la révolution culturelle, de Tien An Men, du Tibet et de l’explosion économique. Sa particularité est de se couler dans le moule de la pensée médicale moderne et de considérer l’acupuncture comme une simple méthode adjuvante à la pharmacopée. Et l’on comprend qu’il soit chez nous conseillé d’être médecin pour la pratiquer.
Celle que nous diffusons est celle du modèle issu de la tradition, antérieure à l’existence même de notre médecine conventionnelle. Elle se considère comme une alternative à la pharmacopée, selon ce que le plus ancien texte médical en dit par la bouche de l’Empereur Huang Di (2700 ans avant JC) : « je veux que mon peuple soit préservé des remèdes toxiques et qu’il emploie des fines aiguilles ».
La différence n’est pas polémique. Elle est simplement dans l’approche de la personne, dans l’analyse de ses déséquilibres, dans la manière de conduire un traitement. Par exemple et pour ceux qui utilisent des aiguilles : dans le premier cas, il s’agit, en complément de formules parfois toxiques, de chercher à stimuler l’énergie vitale (Qi) par des manipulations d’aiguille souvent désagréables. Dans le second cas le principe est de ne pas blesser le Qi. Dans le premier cas un point cutané est étudié selon ses résultats statistiques liés à une pathologie clairement répertoriée, dans le second cas un point est vu comme une lettre d’un alphabet de santé. Plusieurs lettres pour écrire un mot thérapeutique. Et pour choisir le mot, la prise des pouls qualitatifs est indispensable et complète un entretien centré sur la personne et non sur sa maladie.

TRADITION ET MODERNITE
Il ne s’agit pas d’opposer les connaissances actuelles à la tradition et de tout refuser du modernisme. La tradition a toujours su intégrer les éléments nouveaux quand ils sont bénéfiques. Ainsi aujourd’hui on peut souvent remplacer la poncture par le toucher et l’application d’huiles essentielles. Cependant ce qui ne change pas, c’est l’état d’esprit de respect et la connaissance de l’homme qui n’est jamais analysé en dehors de son contexte de globalité.

VOUS LE VOYEZ, LES DIFFERENCES SONT GRANDES !
Nombreux sont ceux qui se sont engagés dans l’étude de la médecine chinoise, séduits par le terme « traditionnel » accolé systématiquement mais à tort à l’expression « médecine chinoise », sous prétexte de l’utilisation des méridiens et des points. Outre qu’ils se sont rendu compte que l’acupuncture était minimisée, on ne leur a souvent pas donné beaucoup de pratique pour la localisation de ces mêmes méridiens et points. Et ils sont là, à se demander comment faire pour récupérer la tradition. Doivent-ils tout recommencer ? Si vous êtes dans ce cas, n’avez-vous pas déjà fait beaucoup d’efforts, et dépensé temps et argent ?

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